Napoléon vu par Abel Gance – Partie 2
France - 2024 - 3H27 - VF
10h00 : projection de NAPOLEON VU PAR ABEL GANCE - 1ère PARTIE
14h00 : buffet
15h00 : Conférence de Georges Mourier, réalisateur et chercheur en charge de la restauration pour la Cinémathèque française.
16h30 : projection de NAPOLEON VU PAR ABEL GANCE - 2ème PARTIE
Tarif réduit : 1 film - 6,50€ / 2 films : 9,00€ / Conférence : gratuite sur réservation
L’épopée napoléonienne d’Abel Gance dans sa « Grande Version » inédite et définitive. Après 16 ans d’une aventure collective sans précédent dans l’histoire de La Cinémathèque française, le public est enfin invité à venir juger sur pièce un film que nul n’a jamais vu depuis 1927. Une reconstruction exemplaire menée par Georges Mourier, et dotée d'une partition inédite due au talent de Simon Cloquet-Lafollye, enregistrée par les musiciens des orchestres de Radio France.
« « Un monstre ! », voilà comment Georges Mourier qualifie le Napoléon d’Abel Gance, fresque monumentale datant de 1927, qui retrace la vie du futur empereur depuis son enfance jusqu’aux premiers feux de la campagne d’Italie. Georges Mourier, réalisateur et chercheur en charge de sa restauration pour la Cinémathèque française, a dû batailler pendant seize ans pour dompter le « monstre ». Un « monstre » indocile devenu avec le temps un véritable serpent de mer cinéphilique. Abel Gance lui-même, noyé par une démesure qu’il avait pourtant orchestrée, semblait avoir perdu le fil d’un film dont il a multiplié les versions (il en existerait 22 différentes !). Le cinéaste, décédé il y a près de quarante-trois ans, avait fait de Bonaparte une fixation au point de signer un véritable corpus personnel : pas moins de trois longs métrages supplémentaires en plus des multiples montages de son Napoléon originel. Parmi celles et ceux qui ont eu la chance de découvrir ce Napoléon, qui pouvait être certain d’avoir vu la version qui se rapprochait le plus de celle voulue secrètement par Gance ? Pas grand monde. Et d’ailleurs, ce film « parfait » existait-il vraiment ? Si oui, le matériel n’était-il pas dispersé aux quatre vents, perdu depuis longtemps, voire trop abîmé pour être exploité ? Toutes ces questions ont taraudé Georges Mourier pendant près d’une décennie. » CNC
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dimanche 06 octobre
- 16:30
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mardi 08 octobre
- 19:15